Un artiste Suisse ...

THOMAS HIRSCHHORN

Plasticien suisse né en 1957, il s'installe travailler à Paris en 1984 et se fait reconnaître dans les années 1990. Il expose depuis en France, Allemagne, Angleterre, Italie, Suisse...

«Grand de taille, droit comme un "I", le cheveu court, la chemise grise entrouverte sur le cou, le costume noir discrètement rayé, le regard perçant derrière des lunettes cerclées de noir, il a plus l'air d'un chef d'entreprise que d'un artiste», ainsi le présente le critique d'art Philippe Piguet (1). Lauréat du prix Marcel-Duchamp en 2000, il est décrit en ces termes par Alfred Pacquement, président du jury: «Thomas Hirschhorn est [...] l'initiateur d'une esthétique très identifiée [qui] pose intensément la question de l'engagement de l'artiste dans la vie et dans l'Histoire.» On le décore pour son originalité et ses oeuvres inventives.


Un artiste haut en couleur,
            du rouge pour les Yeux ( Exposition à Toronto,Canada, Eyes, Das Auge, 2011)
Des PHOTOGRAPHIES, des COLLAGES, du Carton, du Papier, de l'Aluminium ...
des matériaux de la vie courante pour toucher le plus de personne et les mettre en confiance.
 Il est diplimé de l'école des Arts décoratifs de Zurich,part en France pour travailler en temps que graphisme avant que son parcours bascule, faute d'attente espérée.
Ses premiers travaux touche le collage.
Cela lui permet de "mettre ensemble ce qui ne s'associe pas naturellement".


série rouge
série bleue


La série des Antalgiques, 2005

perforation de balles/ Concretion XVI, 2007

Embedded Fetish 2006
«Thomas Hirschhorn est [...] l'initiateur d'une esthétique très identifiée [qui] pose intensément la question de l'engagement de l'artiste dans la vie et dans l'Histoire.»




Question sur la Mondialisation

Everything is burning 2006

Pour se faire, Thomas Hirschhorn explique faire un voyage fictif, imaginaire sur Mars pour ainsi prendre du recul et revenir sur Terre avec une vision nouvelle. Il cherche à toucher les personnes physiquement mais aussi psychologiqueme
 Comme il le dit très clairement, Hirschhorn fait de l'art politiquement. Ce qui l'intéresse tout d'abord est de faire passer ses idées. Il cultive pour cela un goût pour les débats, les meetings, et va jusqu'à choisir pour réaliser ses formes, des matériaux au plus proche des citoyens.
Cavemanman, 2002




Il enrubanne de scotch brun, spectacularise et amplifie ses formats. "Faire grand, c'est dire mon engagement, répond-il à ceux qui y voient la tentation du monumental."
Burning Everywhere, 2009







nt en leur exposant sa réflexion. 

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